Ërell débute le tag à Bordeaux au début des années 2000. Inspiré notamment par Olivier Stak, Jürgen Mayer ou encore Sol Lewitt, il finit par réduire sa signature en une forme géométrique simple : l’hexagone, qu’il fragmente.
Issue de son tag initial, sa signature manuscrite devient un emblème modulable et reproductible dont le but est d’être identifiable par tous. Cette écriture est pour Ërell un prétexte à l’exploration urbaine et l’expérimentation plastique, créant des ponts entre art urbain et design.